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La vie à la campagne est difficile. Citez les problèmes que rencontrent les campagnards.

L'exode rural inquiète à un plus haut degré les responsables et les chercheurs, au Maroc. Chaque année, des milliers de campagnards quittent leurs hameaux en vue de s'installer dans les faubourgs des grandes villes. Plusieurs problèmes sont à l'origine de cette migration.
A la campagne, il n'y a pas d'eau courante ni d'électricité. Les gens utilisent encore les bougies pour éclairer leurs taudis construits en torchis. Et ils doivent traverser plusieurs kilomètres afin d'avoir un peu d'eau. Même lorsqu'il y a un puits, l'eau non traitée contient beaucoup de germes et de microbes ce qui constitue un danger pour la santé de ses utilisateurs.
C'est pour cette raison que les maladies microbiennes sont répandues à la campagne. À cause de la rareté de l'eau, les gens prennent des bains très rarement, et ne se lavent pas régulièrement les mains. La typhoïde, par exemple, est très fréquente pendant l'été. Et plusieurs personnes succombent à la suite d'une fièvre, une affection simple, la piqûre d'un scorpion ou la morsure d'une vipère parce qu'il n'y a pas d'hôpitaux à la campagne ; il n'y a même pas de dispensaires.
Quand les campagnards veulent transporter un malade à l'hôpital de la ville la plus proche, ils rencontrent le problème des moyens de transport. Ils ne trouvent pas de taxis, d'autocars ou de trains. Et si un bienfaiteur possède un véhicule, il trouve mille maux pour arriver à destination : les pistes ne sont pas carrossables.
Les enfants et les adolescents de la campagne souffrent beaucoup de l'absence des moyens de distraction tels le cinéma, les terrains de sport et les piscines. Lorsqu'ils n'ont pas un travail à faire dans les champs, ils se morfondent dans l'ennui. Les jeunes ne reçoivent pas une formation et une instruction parce qu'il n'y a pas d'école dans leurs douars, à plus forte raison un centre de formation. Les rares individus qui ont eu la chance de suivre des cours dans l'école primaire doivent arrêter leur scolarité parce qu'ils n'ont pas les moyens d'aller en ville pour intégrer un collège.
La sécheresse, l'ignorance et la marginalisation ont condamné la campagne marocaine à croupir dans la misère et l'indigence. Ces campagnards souffrent toujours de malnutrition, du manque de soins et de l'absence de l'école. Ce sont les principaux problèmes de la campagne.

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